Selon des chercheuses et chercheurs de l’Université McGill, les substances chimiques utilisées à la place du bisphénol A (BPA) dans les emballages alimentaires peuvent avoir des effets nocifs sur les cellules ovariennes humaines.
L’équipe de recherche s’est penchée sur plusieurs substances chimiques couramment utilisées dans les étiquettes de prix apposées sur les emballages de viande, de poisson, de fromage et de fruits et légumes, et a mis en évidence des signes précurseurs d’une toxicité potentielle.