Bien que la croissance des prix en épicerie se poursuive à un rythme plus élevé que l’inflation, elle a ralenti en juillet, selon Statistique Canada, et certains articles affichent actuellement sur les tablettes le même prix que celui indiqué en février, a constaté La Presse.
Or, ce « répit » estival pourrait être de courte durée, prévient Pascal Thériault, agronome et économiste à l’Université McGill. Et il faut tout de même se rappeler que la facture d’épicerie demeure élevée, dit-il.