Le taux d’incidence du mélanome, une forme mortelle du cancer de la peau, est en hausse au Canada. Selon une étude dirigée par l’Université McGill, les personnes vivant dans les régions du sud et côtières sont les plus à risque.


Ce soutien visionnaire permettra au Bureau de technologie éducative et d’apprentissage en ligne en santé (Ed-TECH) d’accroître l’offre d’apprentissage en ligne et d’autres initiatives de formation communautaire et professionnelle dans le domaine de la démence.
MONTRÉAL, 31 janvier 2022 – Une nouvelle initiative du Programme de formation sur la démence de l'Université McGill fait partie des 15 projets qui recevront des fonds de l'Agence de la santé publique du Canada pour sensibiliser les gens à la démence et promouvoir des communautés inclusives dans ce domaine, a annoncé aujourd'hui le ministre Jean-Yves Duclos.

En plus de la vieillesse et de certaines maladies sous-jacentes, la génétique peut avoir une influence sur le fait d’être gravement touché ou non par la COVID-19. Des études antérieures portant principalement sur des personnes d’origine européenne ont révélé que les personnes porteuses d'un segment particulier d'ADN courent 20 % moins de risques de développer une forme critique de la COVID-19. Ce segment d'ADN code pour des gènes du système immunitaire et est hérité des Néandertaliens chez environ la moitié des personnes hors d'Afrique.

Une récente étude menée à l’Université McGill lève le voile sur un sujet peu exploré : l’origine des troubles psychiatriques. Cette recherche montre que la combinaison de trois facteurs est en grande partie responsable de nombreux troubles psychiatriques précoces, dont la dépression, l’anxiété, les dépendances, la dyslexie, la boulimie et le TDAH. Le premier de ces facteurs est biologique : il s’agit de la variabilité individuelle du circuit dopaminergique de la récompense dans le cerveau.

Le diabète de type 1, la polyarthrite rhumatoïde et le cancer ne sont que quelques exemples de maladies associées à l’incapacité de gènes particuliers à s’activer ou à se désactiver comme ils le doivent.

Une découverte liée à un gène régissant la production d’énergie dans des cellules souches cancéreuses pourrait mener à un traitement plus efficace du glioblastome. En effet, selon une étude dirigée par l’Université McGill et parue dans la revue Nature Communications, la suppression du gène OSMR peut accroître l’efficacité de la radiothérapie.

Montréal, le 20 octobre 2021 - Une personne qui reçoit un diagnostic de démence, qui va changer sa vie, se pose de nombreuses questions. Comment cela va-t-il affecter ma vie quotidienne? Combien de temps est-ce que je pourrai rester indépendant? Comment cela va-t-il changer ma relation avec mes proches?

Tout comme nous acquérons des provisions de nourriture ou des piles de rechange, les bactéries sont capables de faire des réserves qu’elles consomment en cas de disette. Les granules de cyanophycine font partie de ces provisions. C’est un scientifique italien qui, pour la première fois, il y a environ 150 ans, en a remarqué l’existence. Alors qu’il étudiait les algues bleu-vert, aussi appelées cyanobactéries, il a noté la présence de grosses taches sombres dans leurs cellules, sans toutefois en comprendre le rôle.

Une équipe internationale de chercheurs, dont fait partie Stéphane Laporte, professeur à l’Université McGill, a découvert le fonctionnement de cibles médicamenteuses potentielles de diverses maladies, comme le cancer, l’arthrite rhumatoïde et même la COVID-19.

Dr Serge Gauthier, Dr Pedro Rosa-Neto, Dr José A. Morais et Mme Claire Webster, corédacteurs de l’Université McGill, présentent le Rapport mondial Alzheimer 2021, « Voyage à travers le diagnostic de la démence ».

Les mères qui fument sont plus susceptibles de donner naissance à un bébé de faible poids (même après une grossesse à terme), ce qui augmente les risques d’anomalies congénitales et de troubles neurologiques plus tard dans la vie, selon des chercheurs de l’Université McGill. L’équipe de chercheurs – dont font partie le professeur adjoint Michael Dahan et Ido Feferkorn, du Centre universitaire de santé McGill – s’est intéressée aux effets du tabagisme sur plus de neuf millions d’accouchements aux États-Unis sur une période de 11 ans.
Chers collègues, chères collègues de la Faculté de médecine et des sciences de la santé,

Bien que des études menées au début de la pandémie aient donné à penser que la vitamine D réduisait le risque de contracter la COVID-19, des chercheurs de l’Université McGill concluent à l’absence de preuve génétique d’un quelconque effet protecteur contre le coronavirus.
Génome Québec a annoncé aujourd’hui les résultats de l’appel de propositions du Programme d’intégration de la génomique, volet santé humaine. Cinq équipes de McGill issues de domaines diversifiés ont reçu des fonds totalisant près d’un million de dollars. Le programme se distingue en exigeant que les candidats affiliés à un institut de recherche aient également un partenaire externe non universitaire, soutenant ainsi les objectifs du programme de stimuler l’économie québécoise et d’encourager l’utilisation des technologies génomiques dans le système de santé québécois.