McGill à vos côtés a été lancé par le Programme de formation sur la démence le 13 mai 2020, au début de la pandémie de COVID-19, au moment où beaucoup d’entre nous étaient isolés à la maison. Claire Webster, fondatrice du programme, a eu l’idée d’enregistrer de courts entretiens avec des experts sur des sujets d’intérêt pour les partenaires de soins des personnes atteintes de troubles neurocognitifs, afin de les informer et de les soutenir pendant cette période difficile.


Qu’est-ce que le Centre de simulation et d’apprentissage interactif Steinberg?

L’étude des mutations présentes dans une tumeur rénale cancéreuse retirée par voie chirurgicale pourrait permettre d’évaluer plus précisément le risque de récidive. C’est ce qui ressort des résultats les plus récents d’une étude internationale échelonnée sur dix ans.

Les résultats de deux études déterminantes menées à l’Université McGill et portant sur les environnements immunitaires des tumeurs pulmonaires et cérébrales ont été publiés aujourd'hui dans la revue Nature. Ces travaux ont été réalisés sous la direction de Logan Walsh, Daniela Quail et Peter Siegel, de l’Institut du cancer Rosalind et Morris Goodman, et de Philippe Joubert de l’Université Laval.
Un nouveau financement de 5,1 millions de dollars provenant de la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI), annoncé aujourd’hui par l’honorable François-Philippe Champagne, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, va aider les chercheurs Marcel Behr, M.D., Ph. D., et Silvia Vidal, Ph. D., à s’assurer que le Canada sera mieux préparé en vue de la prochaine pandémie.

Selon les estimations les plus récentes (2016) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), plus de 4,2 millions de personnes meurent prématurément chaque année à cause d’une exposition prolongée à la pollution de l’air extérieur par les particules fines (souvent appelées PM2,5).

Les algues bleu-vert (aussi appelées cyanobactéries) détiennent un pouvoir particulier, qui explique sans doute leur capacité à envahir si facilement les voies navigables. Elles ont l’extraordinaire faculté de stocker de l’énergie et de l’azote dans leurs cellules en vue d’une utilisation ultérieure. Mais on ne comprend que partiellement comment elles y parviennent.

C’est avec plaisir que le Programme de formation sur la démence de l’Université McGill dévoile le nouveau design de son site web ce mois-ci. Consultez le www.mcgill.ca/demence pour avoir accès à des ressources gratuites créées par une équipe de leaders multidisciplinaires en soins de santé pour informer et soutenir les personnes atteintes de démence et leurs partenaires de soins. Voici quelques exemples de ce que vous pouvez trouver en ligne!

Nous avons le plaisir d'annoncer la nomination de Carla Apostolova, membre de la promotion 2024 du programme MDCM de McGill, à la présidence de la campagne World Restart a Heart (WRAH) 2022 de l'Université McGill.
La campagne WRAH de McGill est la plus grande initiative de santé publique en matière d'arrêt cardiaque menée par une université en Amérique du Nord, ayant touché plus d'un million de personnes depuis sa création. La campagne a pour objectif de transmettre les compétences nécessaires pour réagir en cas d'arrêt cardiaque.

Le taux d’incidence du mélanome, une forme mortelle du cancer de la peau, est en hausse au Canada. Selon une étude dirigée par l’Université McGill, les personnes vivant dans les régions du sud et côtières sont les plus à risque.

Ce soutien visionnaire permettra au Bureau de technologie éducative et d’apprentissage en ligne en santé (Ed-TECH) d’accroître l’offre d’apprentissage en ligne et d’autres initiatives de formation communautaire et professionnelle dans le domaine de la démence.
MONTRÉAL, 31 janvier 2022 – Une nouvelle initiative du Programme de formation sur la démence de l'Université McGill fait partie des 15 projets qui recevront des fonds de l'Agence de la santé publique du Canada pour sensibiliser les gens à la démence et promouvoir des communautés inclusives dans ce domaine, a annoncé aujourd'hui le ministre Jean-Yves Duclos.

En plus de la vieillesse et de certaines maladies sous-jacentes, la génétique peut avoir une influence sur le fait d’être gravement touché ou non par la COVID-19. Des études antérieures portant principalement sur des personnes d’origine européenne ont révélé que les personnes porteuses d'un segment particulier d'ADN courent 20 % moins de risques de développer une forme critique de la COVID-19. Ce segment d'ADN code pour des gènes du système immunitaire et est hérité des Néandertaliens chez environ la moitié des personnes hors d'Afrique.

Une récente étude menée à l’Université McGill lève le voile sur un sujet peu exploré : l’origine des troubles psychiatriques. Cette recherche montre que la combinaison de trois facteurs est en grande partie responsable de nombreux troubles psychiatriques précoces, dont la dépression, l’anxiété, les dépendances, la dyslexie, la boulimie et le TDAH. Le premier de ces facteurs est biologique : il s’agit de la variabilité individuelle du circuit dopaminergique de la récompense dans le cerveau.

Le diabète de type 1, la polyarthrite rhumatoïde et le cancer ne sont que quelques exemples de maladies associées à l’incapacité de gènes particuliers à s’activer ou à se désactiver comme ils le doivent.