Le cosmologiste Jonathan Sievers et la spécialiste des relations internationales Jennifer Welsh sont les nouveaux titulaires d’une chaire de recherche Canada 150 à l’Université McGill. Ces nominations font partie des 24 chaires annoncées aujourd’hui par la ministre des Sciences Kirsty Duncan, au Musée canadien de l’histoire à Gatineau (Québec).


Le point le plus chaud d’une planète gazeuse gravitant près d’une étoile distante ne se situe pas là où les astrophysiciens pensaient le trouver. Cette découverte interpelle les scientifiques, qui s’interrogent sur leur compréhension des nombreuses planètes de ce type peuplant les autres systèmes solaires.

L’intensité de l’émission de lumière rémanente, générée par la fusion d’étoiles à neutrons détectée en août dernier, continue d’augmenter – à la grande surprise des astrophysiciens qui étudient le résultat de la collision massive qui s’est produite il y a quelque 138 millions d’années-lumière et qui a propulsé des ondes gravitationnelles partout dans l’Univers.

Pour la première fois, des astronomes ont repéré la galaxie hôte d’un sursaut radio rapide (SRR). Les scientifiques disposent ainsi d’un élément de plus pour déterminer la cause de ces ondes radioélectriques puissantes, mais fugaces. Ces impulsions de quelques millisecondes seulement intriguent les astrophysiciens depuis leur découverte, il y a une dizaine d’années.

Par Chris Chipello
Pour la première fois, des astronomes ont détecté une succession de sursauts radio provenant d’une source mystérieuse vraisemblablement située bien au-delà des confins de la Voie lactée.
Selon les observations des chercheurs, ces sursauts radio rapides (SRR) proviennent d’un objet extrêmement puissant qui produit parfois de multiples sursauts en moins d’une minute.

Par Katherine Gombay, McGill Salle de presse
Une nouvelle technique pourrait permettre de rétablir les connexions neuronales chez les personnes présentant des lésions du système nerveux central

Un don d’un million de dollars de la Fondation de la famille Trottier permettra d’offrir des bourses d’études aux chercheurs affiliés à l’Institut spatial de McGill

Alors que les scientifiques poursuivent leurs efforts à la découverte d’un matériau permettant d’emmagasiner davantage de transistors sur un microcircuit, une nouvelle étude menée en partenariat à l’Université McGill et l’Université de Montréal tend à démontrer le potentiel élevé du phosphore noir à cet égard.

Victoria Kaspi, professeure à l’Université McGill et astrophysicienne de renommée mondiale connue pour ses recherches de pointe sur les étoiles à neutrons et les pulsars, a reçu aujourd’hui le prix Killam, une des plus prestigieuses récompenses canadiennes remises à des chercheurs et universitaires en reconnaissance de leurs réalisations exceptionnelles. Le prix de 100 000 $ a été remis à la professeure Kaspi pour ses travaux novateurs dans le domaine des sciences naturelles. Cinq prix, dans les catégories des sciences humaines, des sciences sociales, des sciences naturelles, des sciences de la santé et du génie, sont octroyés chaque année par le Conseil des arts du Canada.

