
Des membres fondateurs du programme de sensibilisation à la chimie de McGill,, ont décrit la conception et le travail du groupe dans Beyond exploding balloons- brining the science of chemistry to the public, un nouvel article publié dans la Revue canadienne de chimie.

Hanadi Sleiman, professeure au Département de chimie de l’Université McGill et titulaire de la Chaire de recherche du Canada de niveau 1 en nanoscience de l’ADN, a transformé le domaine de la nanotechnologie de l’ADN et révolutionné les traitements de précision de maladies d’importance, comme le cancer. Ses travaux de recherche viennent tout juste d’être récompensés sur la scène nationale.

La barbe de la moule (la partie qu’on retire avant la cuisson) est composée de filaments de byssus et elle sert à maintenir la moule en place. Au bout de chaque filament, on trouve une plaque de forme discale qui agit comme une colle sous-marine. Les propriétés inhabituelles de cette colle et des filaments du byssus fascinent les humains depuis l’Antiquité, alors qu’on tissait les filaments de certaines espèces pour en faire de luxueux bérets, sacs à main, gants et bas.

Chaque année, des millions de personnes meurent prématurément de maladies et de cancers causés par la pollution atmosphérique. Notre première ligne de défense contre cette hécatombe est l’établissement de normes de qualité de l’air ambiant. Or, des chercheurs de l’Université McGill nous apprennent que plus de la moitié de la population mondiale est privée de la protection que confèrent ces normes.

Le groupe de vulgarisation en chimie a remporté le Prix du Principal pour l'engagement du public à travers les médias, dans la catégorie "Collaboration", une catégorie inaugurale pour les groupes d'étudiants en baccalauréat ou en etudes supérieures qui s'engagent auprès de la communauté externe et/ou des médias.
Le prix reconnaît le rôle vital que jouent les groupes de vulgarisation dans le soutien de la mission de l'université d'être au service de la société et de s'engager auprès de la communauté.
À la recherche de la paille parfaite sans plastique: des chercheurs, notamment de l'Université McGill à Montréal, ont mis au point une paille faite de cellulose, la composante principale des arbres et des plantes. Elle est écologique et faite d'une matière renouvelable sans goûter le papier détrempé, affirment-ils.

Depuis un certain temps, des scientifiques étudient les effets de la pollution sur l’air, le sol et l’eau à proximité des sables bitumineux de l’Athabaska. Après avoir examiné les contaminants présents dans de la neige prélevée jusqu’à 25 km des sables bitumineux, une équipe de scientifiques dirigée par l’Université McGill avance maintenant que la pollution causée par les sables bitumineux a aussi une incidence sur les régimes climatiques des régions avoisinantes.
Il est le troisième McGillois à recevoir l'insigne distinction, le premier chercheur en chimie verte dans l’histoire du prix

Des chercheurs de l’Université McGill ont mis au point un nouveau type de nanoparticule de cellulose offrant une solution plus efficace et plus écologique à l’un des principaux problèmes des industries utilisant des ressources hydriques : l’accumulation de tartre.


Des chercheurs de l’Université McGill ont inventé une nouvelle technique de mesure de la rapidité d’interaction des médicaments avec leurs cibles moléculaires. Cette découverte offre aux scientifiques une nouvelle façon d’évaluer l’efficacité des médicaments candidats qui, autrement, pourraient avoir été ignorés.

Des chercheurs de l’Université McGill ont découvert une façon plus écologique de produire des cétones, composés chimiques utilisés couramment dans la fabrication de produits pharmaceutiques. On trouve les cétones dans une grande diversité de produits chimiques utiles, mais elles sont généralement obtenues au moyen de technologies énergivores, qui nécessitent plusieurs étapes et produisent de grandes quantités de déchets chimiques.

Des chercheurs de l’Université McGill ont réussi à fixer des brins d’ADN à la surface de particules polymères; une technique qui pourrait ouvrir la voie à la mise au point de nouveaux matériaux destinés à des applications telles que la biomédecine et la robotique souple, un nouveau domaine prometteur.
Dans leur étude publiée dans la revue Nature Chemistry, les chercheurs décrivent une méthode permettant de créer des particules polymères asymétriques qui se lient entre elles de manière définie dans l’espace, tout comme les atomes forment les molécules.
