L’allergie à la pénicilline représente une préoccupation de santé publique, un patient sur dix étant déclaré y être allergique. Ces patients sont plus susceptibles de se faire prescrire des antibiotiques de remplacement, qui sont souvent moins efficaces contre certaines infections. Ceci peut engendrer l’échec d’un traitement, accroitre la résistance antibiotique et le développement de superbactéries. Pourtant, moins de 5 % des patients considérés comme étant allergiques à la pénicilline le sont réellement.
La douleur chronique est une pathologie complexe qui touche des millions de personnes aux quatre coins du monde et il demeure difficile de comprendre ses causes et son évolution. Toutefois, les découvertes d’une récente étude de l’Université McGill publiée dans la revue Nature Medicine pourraient nous aider à mieux comprendre et à gérer la douleur chronique. Les scientifiques ont mis au point un modèle permettant de prédire la probabilité de développer des douleurs chroniques, ainsi que la gravité et l’étendue de ces douleurs.
Aujourd’hui, l’Université McGill a annoncé qu’elle avait conclu des ententes avec ModernaTX, Inc., société de biotechnologie à l’avant-garde de la mise au point de traitements et de vaccins à ARN messager (ARNm). Ces ententes portent sur deux projets de recherche novateurs dans le domaine des nanoparticules lipidiques. Les nanoparticules lipidiques sont des composantes essentielles des médicaments à ARNm comme les vaccins, car elles constituent la principale méthode d’acheminement des brins d’ARNm vers les cellules cibles.
Selon une étude de l’Université McGill, l’efficacité d’un traitement médical pourrait être accrue si la personne qui le reçoit pense qu’il a été conçu expressément pour elle, surtout si cette personne désire être perçue comme unique.
Les scientifiques sont depuis longtemps captivés par la possibilité de découvrir des signes de vie extraterrestre dans l’Univers. Quelques-uns des plus grands télescopes du monde sont pointés vers des galaxies et des systèmes stellaires lointains. Pourtant, certains pensent qu’il est fort probable que la vie pourrait être détectée bien plus près de la planète bleue.
Les invasions biologiques sont une menace sérieuse à l’environnement, à la biodiversité et au bien‑être humain, qui entraîne une dégradation des écosystèmes ainsi que des coûts économiques de l’ordre de plusieurs billions d’euros à l’échelle mondiale. Une étude dirigée par l’Université McGill lève le voile sur les coûts économiques exorbitants que ces invasions occasionnent au sein de l’Union européenne.
Qu'il s'agisse de la tentative d'un artiste d'apprivoiser les troubles du sommeil à l'aide de l'IA, de sons et d'objets en tant qu'artefacts des rêves d'autres personnes ou d'une station de radio qui transforme la peur de l'insomnie en curiosité et en écoute collective, l'exposition InSomnolence du collectif de recherche La sociabilité du sommeil pose la question suivante : en quoi le sommeil nous rapproche-t-il ?
Lorsque nous sommes en déficit de sommeil, il est possible que nous ayons plus de difficulté à retenir de l’information. Cependant, pour ceux d’entre nous qui ont une bonne capacité cardiorespiratoire, la mémoire pourrait être moins affectée par les effets de l’insuffisance de sommeil, selon une étude récente de l’Université McGill parue dans la revue Medicine & Science in Sports & Exercise.
Le long de la côte de Terre-Neuve-et-Labrador et de la Nouvelle-Écosse, on constate des changements préoccupants : des changements dans le courant du Labrador entraînent des hausses de température soudaines et des chutes de la teneur en oxygène des eaux dans plusieurs zones marines, notamment le golfe et l’estuaire du Saint-Laurent. Ces changements ont de graves conséquences sur les écosystèmes marins et sur la pêche.
Des chercheuses de l’Université McGill sont à la tête d’une équipe internationale dont l’objectif est de définir un cadre qui aidera les décideurs politiques, aux États-Unis et ailleurs dans le monde, à déterminer les stratégies à privilégier pour la fermeture définitive des puits de pétrole et de gaz abandonnés.
Peu importe l’endroit où l’on se trouve, il y a 24 heures dans une journée. À l’échelle d’une population mondiale de huit milliards de personnes, on obtient un total d’environ 190 milliards d’heures humaines par jour. Notre utilisation de ces heures a une incidence sur notre environnement et notre mode de vie. Une équipe de recherche dirigée par l’Université McGill a recueilli et analysé des données sur les activités économiques et non économiques exercées partout sur la planète afin de dresser, pour la première fois, le portrait d’une journée dans la vie de l’humanité.
De plus en plus de gens utilisent Internet pour travailler, jouer, magasiner et rester en contact avec leurs proches, ce qui fait croître la demande mondiale pour le trafic de données de 40 % chaque année. Face à cette demande croissante de bande passante, David V.
L’Université McGill, en partenariat avec l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), et le Forum économique international des Amériques (FEIA) ont annoncé aujourd’hui la tenue de Chargé à bloc : à l’avant-garde de l’énergie propre. Ce panel, qui réunira des spécialistes des secteurs privé et public ainsi que de la recherche, aura lieu cet automne à Montréal.
Les maladies infectieuses, et plus précisément les infections respiratoires, sont l’une des principales causes de mortalité dans le monde. C’est pourquoi il y a un urgent besoin d’outils diagnostiques rapides et utilisables à grande échelle qui permettraient de détecter ces maladies à un stade précoce; or, il n’existe aucun outil du genre à l’heure actuelle.
Il y a environ 20 ans, des scientifiques ont présenté le premier génome humain de référence. Ce fut une réalisation marquante qui a eu une incidence considérable sur la recherche biomédicale et qui a changé la manière dont les scientifiques étudient la biologie humaine. Cela dit, puisqu’il contenait l’information génétique de quelques individus seulement, ce génome ne représentait pas la diversité génétique des populations mondiales.