Qu'il s'agisse de la tentative d'un artiste d'apprivoiser les troubles du sommeil à l'aide de l'IA, de sons et d'objets en tant qu'artefacts des rêves d'autres personnes ou d'une station de radio qui transforme la peur de l'insomnie en curiosité et en écoute collective, l'exposition InSomnolence du collectif de recherche La sociabilité du sommeil pose la question suivante : en quoi le sommeil nous rapproche-t-il ?
Lorsque nous sommes en déficit de sommeil, il est possible que nous ayons plus de difficulté à retenir de l’information. Cependant, pour ceux d’entre nous qui ont une bonne capacité cardiorespiratoire, la mémoire pourrait être moins affectée par les effets de l’insuffisance de sommeil, selon une étude récente de l’Université McGill parue dans la revue Medicine & Science in Sports & Exercise.
Le long de la côte de Terre-Neuve-et-Labrador et de la Nouvelle-Écosse, on constate des changements préoccupants : des changements dans le courant du Labrador entraînent des hausses de température soudaines et des chutes de la teneur en oxygène des eaux dans plusieurs zones marines, notamment le golfe et l’estuaire du Saint-Laurent. Ces changements ont de graves conséquences sur les écosystèmes marins et sur la pêche.
Des chercheuses de l’Université McGill sont à la tête d’une équipe internationale dont l’objectif est de définir un cadre qui aidera les décideurs politiques, aux États-Unis et ailleurs dans le monde, à déterminer les stratégies à privilégier pour la fermeture définitive des puits de pétrole et de gaz abandonnés.
Peu importe l’endroit où l’on se trouve, il y a 24 heures dans une journée. À l’échelle d’une population mondiale de huit milliards de personnes, on obtient un total d’environ 190 milliards d’heures humaines par jour. Notre utilisation de ces heures a une incidence sur notre environnement et notre mode de vie. Une équipe de recherche dirigée par l’Université McGill a recueilli et analysé des données sur les activités économiques et non économiques exercées partout sur la planète afin de dresser, pour la première fois, le portrait d’une journée dans la vie de l’humanité.
De plus en plus de gens utilisent Internet pour travailler, jouer, magasiner et rester en contact avec leurs proches, ce qui fait croître la demande mondiale pour le trafic de données de 40 % chaque année. Face à cette demande croissante de bande passante, David V.
L’Université McGill, en partenariat avec l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), et le Forum économique international des Amériques (FEIA) ont annoncé aujourd’hui la tenue de Chargé à bloc : à l’avant-garde de l’énergie propre. Ce panel, qui réunira des spécialistes des secteurs privé et public ainsi que de la recherche, aura lieu cet automne à Montréal.
Les maladies infectieuses, et plus précisément les infections respiratoires, sont l’une des principales causes de mortalité dans le monde. C’est pourquoi il y a un urgent besoin d’outils diagnostiques rapides et utilisables à grande échelle qui permettraient de détecter ces maladies à un stade précoce; or, il n’existe aucun outil du genre à l’heure actuelle.
Il y a environ 20 ans, des scientifiques ont présenté le premier génome humain de référence. Ce fut une réalisation marquante qui a eu une incidence considérable sur la recherche biomédicale et qui a changé la manière dont les scientifiques étudient la biologie humaine. Cela dit, puisqu’il contenait l’information génétique de quelques individus seulement, ce génome ne représentait pas la diversité génétique des populations mondiales.
La majorité (60 %) des quelque 1 600 Canadiens et Canadiennes qui ont participé à une récente étude de l’Université McGill ont affirmé ne pas avoir changé leur mode de vie si ce n’est pour l’améliorer durant la pandémie de COVID‑19. En revanche, les 40 % restants ont avoué avoir adopté de moins bons comportements : mauvaises habitudes alimentaires, sommeil de piètre qualité, baisse de l’activité physique et gain de poids, notamment. C’est ce qui ressort de l’étude COVIDiet menée auprès de Canadiens et Canadiennes de 18 à 89 ans.
Plus tôt ce mois-ci, une touriste japonaise en visite à Montréal s’est rendue à la Bibliothèque McLennan de l’Université McGill pour y voir l’exposition sur l’art japonais « From Ukiyo-e to Woodblock Printmaking: A Celebration of Japanese Art », présentée dans le cadre du Mois du patrimoine asiatique.
Convaincu que les jeunes doivent être sensibilisés tôt à la justice environnementale, un groupe d’étudiants en architecture de l’Université McGill s’est rendu cette année dans deux classes de 4e année de l’école primaire Royal Vale pour y mener le projet Architecture Playshop. Pendant cinq semaines, les élèves ont été initiés à l’architecture dans le cadre de leurs cours de langue, d’art et de sciences.
Nous avons tous des ancêtres communs. Certains ont vécu il y a quelques générations, alors que d’autres ont foulé la terre il y a plusieurs centaines de milliers d’années. Or, ces liens qui nous unissent se perdent souvent dans la nuit des temps. Ces liens généalogiques se retrouvent au centre d’une nouvelle étude menée à l’Université McGill.
Les scientifiques craignent depuis des années les effets néfastes possibles des microplastiques. Ces minuscules morceaux de plastique de moins de 5 mm sont présents partout : des profondeurs des océans aux régions éloignées de l’Antarctique, en passant par les fruits de mer que nous consommons. Mais sont-ils vraiment dangereux?
En marge des cérémonies de collation des grades du printemps de cette année, l’Université McGill remettra un doctorat honorifique à 17 personnes inspirantes.
Chefs de file dans leur domaine respectif, ces 17 personnes se démarquent par leur créativité, leur compassion, leur dévouement, leurs réalisations et leur esprit visionnaire. Elles ont joué un rôle déterminant à l’échelle locale ou mondiale et, dans le cas de l’astronaute Andrew Feustel, bien au-delà.