Selon une étude internationale récente, des fragments d’ADN viral ancien autrefois considérés comme des « déchets » pourraient, en fait, jouer un rôle dans la régulation de nos gènes.
À l’aide d’une méthode novatrice permettant de retracer l’histoire évolutive de l’ADN viral, des chercheurs de l’Université McGill et de l’Université de Kyoto ont découvert des séquences jusqu’alors négligées dans les annotations génomiques.














