As part of our Spring Convocation 2025 coverage, we asked graduates from our six Schools to share their experiences of completing a degree in McGill’s Faculty of Medicine and Health Sciences. Here, we meet Class of 2025 member Felix Mailloux from the School of Medicine. Felix completed his MDCM and received his degree at the Spring Convocation Ceremony on May 27. Congratulations Felix!
Name: Felix Mailloux
Degree: Doctorem Medicinae et Chirurgiae Magistrum (M.D., C.M.)
Hometown: Montreal
What did you love most about studying in McGill’s Faculty of Medicine and Health Sciences?
What I loved most was the opportunity to learn directly from experienced physicians who are pioneers in their respective fields. Their expertise and dedication to teaching and research created an inspiring environment that pushed me to grow both clinically and professionally.
If you could change one thing in the world to make it better, what would you choose?
If I could change one thing in the world, I would ensure equitable access to healthcare for all.
Far too many people around the world and in our own communities face geographical, financial and systemic barriers. Health is foundational to every other aspect of life and should be a right for everyone, regardless of the socioeconomic status.
Please share a particularly proud or challenging moment from your degree?
Balancing medical school with high level soccer refereeing. I am happy I was able to continue refereeing and spending countless evenings and weekends on the soccer field during my studies. Even if it affected my sleep, it certainly kept me sane!
Your fave hangout/study spot?
The Lady Meredith Annex!
Any shoutouts?
MDBC
Top tip for incoming students in your program?
Don’t let medicine take all of your time and energy. Keep a balanced life, keep hobbies and stay grounded.
What’s next for you?
Residency in anesthesiology!
Dans cette série d’entrevues à l’occasion de la collation des grades du printemps 2025, nous avons demandé à des diplômées et diplômés de nos six écoles de revenir sur leur expérience étudiante à la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université McGill. Voici notre entretien avec Andrée-Ann Béchard, de l’École de médecine (Campus Outaouais), qui a reçu son diplôme MDCM le 27 mai lors de la cérémonie de collation des grades du printemps. Félicitations Andrée-Ann!
Nom : Andrée-Ann Béchard
Diplôme : MDCM
Lieu de naissance : La Pocatière
Qu’avez-vous le plus aimé de vos études à McGill et à la Faculté de médecine et des sciences de la santé?
Ce que j’ai le plus apprécié de mes années en médecine au Campus Outaouais, c’est la proximité, autant avec l’administration, les différentes cohortes et les différents médecins que nous côtoyons. En effet, tout le monde se connait par son prénom, et cela permet une atmosphère chaleureuse et propice à l’enseignement dans un milieu où on se sent respecté.
Parlez-nous d’un moment de fierté ou d’un défi particulier que vous avez vécu durant vos études.
Dans mon quotidien, j’essaie de faire une différence dans la qualité des soins de mes patients, et je ressens une immense fierté lorsque j’y arrive. Un autre moment de fierté pour moi a été toutes les occasions où j’ai pu faire de l’enseignement à mes pairs. Je trouve cela extraordinaire pour moi d’avoir eu la chance de partager certaines connaissances ainsi que mon plaisir dans l’exercice de la médecine. Et ensuite voir ceux à qui j’ai enseigné utiliser mes trucs et astuces, c’était vraiment satisfaisant!
Est-ce qu’un club ou une activité a marqué votre parcours à McGill?
Pour moi, peu importe l’endroit, mon activité est la course à pied! Autant pour garder la forme que pour décompresser, je cours. J’ai même formé l’équipe du Campus Outaouais à la course Tamarack Run d’Ottawa deux années consécutives, où les étudiants pouvaient courir la distance qu’ils désiraient, et finir cela avec une crème glacée à la Cigale à Chelsea!
Est-ce qu’une expression, est emblématique de vos études à McGill?
« Un pas à la fois ». Parfois, tout le parcours semble être une montagne, mais si on y va petit par petit, la montagne est atteignable et en vaut la peine!
Souhaitez-vous transmettre des salutations ou des remerciements à quelqu’un?
Mon éternelle partenaire, Valérie!! Sans elle, toute la médecine aurait été très différente et fort probablement plus difficile! J’aimerais également remercier du fond du cœur ceux qui m’ont appuyée durant toutes ces années, Rachel, Julie, Meighan, William et tous les autres.
Quel conseil donnez-vous aux étudiantes et étudiants qui débutent dans votre programme?
De profiter du processus, même si vous vous sentez submergés par tout cela. Et aussi de trouver quelqu’un à qui parler, puisque vous n’êtes pas seuls sur ce bateau et qu’il est primordial de ne pas vous perdre au travers de toutes les vagues!
Quels projets vous attendent?
Plusieurs projets mijotent dans ma tête. Je vais débuter par faire ma résidence en médecine familiale au GMF-U de Trois-Pistoles, dans mon coin natal. Pour l’avenir, j’aimerais développer des projets qui rallient mes intérêts personnels et professionnels pour faire briller ma communauté natale. Plus professionnellement parlant, j’ai un désir profond de faire avancer un peu la médecine des soins à domicile pour les patients vulnérables avec des besoins particuliers.
Nom : Franco D’Anna
Diplôme : MDCM, Campus Outaouais
Qu’avez-vous le plus aimé de vos études à McGill et à la Faculté de médecine et des sciences de la santé?
Ce que j’ai le plus aimé, c’est l’ensemble de l’expérience : l’approche centrée sur l’apprentissage en petits groupes, les stages immersifs dès la première année, l’environnement humain de l’Outaouais, l’enseignement clinique de qualité, et surtout les relations tissées avec les patients et collègues.
Si vous pouviez apporter un seul changement positif dans le monde, que changeriez-vous?
Je créerais un monde où aucun Canadien ne craint le cancer. C’est un objectif que je poursuis activement à travers mes efforts au sein du conseil d’administration de la Fondation Coda (fondationcoda.ca), un organisme qui œuvre à réduire le fardeau du cancer à travers l’éducation, le soutien communautaire et des initiatives portées par des centaines d’étudiants canadiens.
Parlez-nous d’un moment de fierté ou d’un défi particulier que vous avez vécu durant vos études.
Je suis particulièrement fier d’avoir su m’investir dans de multiples sphères pendant mes études en médecine. Que ce soit à travers la recherche, le mentorat, le bénévolat ou mes engagements avec la Fondation Coda, j’ai toujours cherché à contribuer de façon équilibrée tout en restant fidèle à mes valeurs.
Quel est votre lieu de prédilection près du campus?
À Gatineau, je vivais tout près du BBQ Shop et du Foubrac, deux endroits où j’aimais bien me détendre. À Ottawa, mes coups de cœur étaient Yakko Takko pour les tacos, Little Mac’s pour la soul food, et quand je voulais me gâter un peu, je choisissais Citizen ou Play Food & Wine.
Un film emblématique de vos études à McGill?
Le film Dune, réalisé par Denis Villeneuve, un de mes réalisateurs préférés, représente bien ces années : à la fois intenses, pleines de découvertes, et profondément humaines. L’univers de Dune, sa quête de sens et de responsabilité, résonne avec mon propre parcours en médecine.
Souhaitez-vous transmettre des salutations ou des remerciements à quelqu’un?
Je tiens à remercier ma famille, ma copine, mes amis, ainsi que l’équipe administrative de l’Outaouais pour leur soutien constant. Chacun d’eux m’a permis de traverser ces années exigeantes avec équilibre et confiance.
Quel conseil donnez-vous aux étudiantes et étudiants qui débutent dans votre programme?
La médecine passe à une vitesse folle. Prenez le temps d’en profiter, de nouer des liens, mais surtout d’explorer tôt les domaines qui vous passionnent. Vous serez surpris de la richesse que vous y trouverez, autant sur le plan professionnel que personnel.
Quels projets vous attendent?
Je pars en Alberta pour entreprendre le programme de résidence en médecine interne à l’Université de l’Alberta. Je compte poursuivre mon travail au sein du conseil d’administration de la Fondation Coda, m’impliquer en éducation médicale, ainsi que poursuivre certains projets de recherche amorcés pendant mes études.