L'ARN atteint de nouveaux sommets!

... et des chercheurs de l'ICG ont participé à son ascension! Un chercheur de l’ICG est reconnu dans les médias pour sa contribution à la compréhension du fonctionnement de l’ARN.

Le terme ARN était en 2019 un terme technique méconnu du public. Depuis la pandémie, ces trois lettres sont sur toutes les lèvres. Les thérapies ARN ont le potentiel d’arrimer la recherche scientifique au développement pharmaceutique. Le vaccin contre la COVID-19 a prouvé que la marchandisation des thérapies ARN est possible, créant un engouement chez l’industrie pharmaceutique qui n'est pas près de se dissiper.

Le 29 avril dernier, les premiers ministres François Legault et Justin Trudeau étaient à l'Institut du Cancer Rosalind & Morris Goodman (ICG) pour annoncer l'ouverture d'une usine de production de vaccins ARN dans le Grand Montréal, liant inévitablement la ville et ses universités au futur de cette technologie novatrice. Ce que peu de gens savent, c'est que l'ARN et Montréal sont des partenaires de longue date. Des chercheurs de l'ICG, tels que Thomas Duchaine, Nahum Sonenberg et Jerry Pelletier ont participé à améliorer notre compréhension de cette molécule si importante.

Le quotidien Le Devoir s'est récemment intéressé à Thomas Duchaine, un chercheur faisant partie de cet héritage de recherche. Ce professeur et directeur associé de l’ICG décrit au Devoir l’espoir qu’ont les chercheurs-euses pour la technologie, qui pourrait accélérer le parcours des thérapies entre le laboratoire et le chevet des patients : « C'est le rêve de tous ceux qui font de la recherche, particulièrement en cancer : se dire que le mécanisme qu'ils ont découvert va vivre, qu'il aura un impact réel ».

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