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Une recherche effectuée à McGill démontre les effets positifs du CVT-E002 dans un modèle de cancer

Publié: 24 May 2006

Une étude préclinique menée par une chercheuse de l'Université McGill, Sandra Miller, montre qu'un dérivé du ginseng, le CVT-E002, pourrait éventuellement servir dans le traitement du cancer et comme stimulant du système immunitaire au cours d'une thérapie anticancéreuse.

La Pre Miller, qui enseigne au Département d'anatomie et de biologie cellulaire de la Faculté de médecine, a lancé l'étude en novembre 2004. Sans écarter la nécessité de mener d'autres expériences avant de passer au stade du développement clinique et de la recherche sur les humains, « nous avons montré, dit-elle, que le CVT-E002 multiplie indéniablement le nombre des cellules NK et des monocytes constituant la première ligne de défense contre les tumeurs chez des souris qui en étaient porteuses. »

Les données associent également le CVT-E002 à une augmentation statistique substantielle des taux de survie par rapport à ceux du groupe placebo. On n'a observé aucun effet indésirable découlant du traitement au CVT-E002.

La Pre Miller fera part de ces résultats à la Conférence nord-américaine sur la recherche en médecine complémentaire et intégrative (NARCC-IM) qui doit se tenir à Edmonton le 27 mai prochain.

Cette étude a été effectuée pour le compte de CV Technologies, entreprise d'Edmonton qui produit le CVT-E002, et financée par le Conseil national de recherches Canada, grâce au programme d'aide à la recherche industrielle (PARI-CNRC).

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