Peu d’étudiants font toutes leurs études sans jamais mettre les pieds sur le campus. Stephanie, étudiante en deuxième année de maîtrise au Département de chirurgie expérimentale, fait partie de ces rares exceptions. Pourtant, même si elle a commencé ses études supérieures en pleine pandémie et qu’elle a suivi la plupart de ses cours à distance, elle ne changerait rien à son parcours.
À l’Université McGill, elle a développé un sentiment d’appartenance à une communauté diversifiée d’étudiantes et d’étudiants aux parcours universitaires et professionnels divers. « Le programme de chirurgie expérimentale est unique en son genre, explique Stephanie. Je l’ai vu comme une porte d’entrée vers une carrière dans le milieu universitaire, dans le secteur privé ou en médecine. Il vous permet de faire tout ce que vous voulez par la suite.»
Titulaire d’un baccalauréat en biologie moléculaire de l’Université Concordia, Stephanie a choisi l’Université McGill pour une raison toute simple : étancher sa soif de connaissances en sciences et en recherche.
Sous la supervision de la Dre. Lysanne Campeau à l’Institut Lady-Davis, Stephanie mène des recherches fondamentales en laboratoire expérimental sur les troubles mictionnels liés au diabète. Comme de nombreux laboratoires de l’Université McGill, celui de la Dre. Campeau accompagne plusieurs personnes étudiantes aux cycles supérieurs dans la poursuite de leurs objectifs universitaires et professionnels.
Trouver un superviseur peut être difficile, encore plus pendant une pandémie. Quand elle pense à sa relation avec sa superviseure, Stéphanie sourit : « Nous avons une très bonne relation. La Dre Campeau est médecin, plus précisément chirurgienne, donc elle est souvent à la clinique avec ses patients. Néanmoins, elle prend vraiment le temps de nous accompagner, mes collègues et moi. Elle nous aide beaucoup, prend notre parti et est là pour nous guider quand nous en avons besoin.»
À l’Université McGill, les superviseurs et les étudiants reçoivent beaucoup de courriels, avoue en riant Stephanie. Cependant, c’est grâce à ces courriels qu’elle a pu trouver les ressources qui correspondaient à ses objectifs académiques et professionnels.
Inscrite à un programme avec mémoire, Stephanie ne savait pas par où commencer. Heureusement, après avoir participé à un atelier sur la rédaction de mémoires et grâce au soutien de son laboratoire, elle a pu se lancer dans son parcours de recherche.
Alors qu’elle se prépare à soumettre la première version de son mémoire, Stephanie se remémore son expérience à l’Université McGill et donne ce conseil : «Toutes les ressources sont là. Toute l’aide dont vous avez besoin est là. L’Université McGill est un excellent établissement. Elle a tellement d’atouts, que ce soit sur le plan professionnel, académique ou social. Il suffit d’aller chercher ce dont vous avez besoin. Croyez-moi, tout est là pour vous. »