Morag Park, PhD

Titre(s) académique(s): 

L'Institut du cancer Rosalind et Morris Goodman
Département d’oncologie
Université McGill

Morag Park, PhD
Coordonnées
Adresse: 

Centre de recherche sur le cancer Rosalind et Morris Goodman
1160, avenue des Pins Ouest
Montréal (Québec)  H3A 1A3

Téléphone: 
514-398-8280
514-398-2542 (labo)
Numéro de fax: 
514-398-6769
Adresse de courriel: 
morag.park [at] mcgill.ca
Prix et distinctions: 

1. Chevalière de l'Ordre nationale du Québec, 2021

2. Présidente désignée du Tumor Microenvironment Network de l’American Association for Cancer Research (AACR), 2014
3. Membre de la Société royale du Canada, 2007

Publications (sélection): 
Recherches en cours: 

La professeure Park s’intéresse aux mécanismes moléculaires de l’activation oncogénique des récepteurs à activité tyrosine kinase ainsi qu’aux mécanismes de la transformation cellulaire selon le modèle de MET (HGFR)/facteur de croissance des hépatocytes (HGF)/oncoprotéine. Son équipe, et d’autres, ont démontré que l’activité du récepteur d’HGF se trouve souvent modifiée dans les cancers humains ce qui les a portés à proposer de nouveaux mécanismes pour son activation oncogénique. Les travaux en cours visent à identifier les signaux moléculaires cruciaux régulés par le récepteur HGF/SF et les récepteurs à activité tyrosine kinase, signaux qui mènent à la progression tumorale et seraient de bonnes cibles thérapeutiques.

Les buts de la recherche de la Pre Park englobent maintenant la compréhension des effets de multiples modifications génétiques combinées à ceux d’événements épigénétiques sur la tumorigénèse et la progression dans le cancer du sein humain. Cette recherche se mariera à une initiative de recherche translationnelle sur le cancer du sein née d’une collaboration entre de nombreux chercheurs fondamentaux de l’Université McGill et du CUSM avec des chirurgiens, des oncologues et des pathologistes du CUSM.

La Pre Park et ses collègues fondent actuellement un groupe de génomique fonctionnelle sur le cancer du sein à Montréal. On y utilisera les techniques de pointe en génomique et protéomique mises sur pied par la communauté de recherche mcgilloise et mondiale pour identifier les déterminants moléculaires du pronostic et du diagnostic associés à une tumeur, ainsi que la réponse possible du patient aux divers traitements.

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