Dans le cadre d’une nouvelle étude dont les résultats ont fait l’objet d’un article publié en ligne le 1er septembre 2013 dans la revue Nature Chemistry, des chercheurs de l’Université McGill ont découvert que des « cages » nanométriques composées de brins d’ADN peuvent encapsuler de petites molécules médicamenteuses et les libérer en réaction à certains stimuli. 

Classified as: ADN, biologie structurelle, cancer prostatique, Lady Davis, leucémie lymphoïde chronique, nanomatériaux, nanotechnologies, Sleiman
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Publié le: 3 sep 2013
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