Plus des deux tiers de la biodiversité du Canada sont constitués d’espèces occupant la limite septentrionale de leur aire de répartition. Or, les biologistes se sont longuement demandé combien d’efforts devraient être déployés dans la conservation des populations végétales qui s’y trouvent. Argument en faveur de leur protection : ces végétaux seraient particulièrement bien adaptés, au fur et à mesure que le climat se réchauffe, pour assurer le déplacement de l’aire de répartition de leur espèce vers le nord.

 

Classified as: biodiversité, l’Université McGill, l’Université Queens, changements environnementaux, Ecology Letters
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Publié le: 17 déc 2018
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