Les chercheurs savent depuis de nombreuses années que l’adversité vécue en début de vie peut modifier le fonctionnement de certains gènes. En effet, tel un gradateur d’éclairage, l’environnement peut régler l’activité génétique à la hausse ou à la baisse. La discipline qui étudie ces mécanismes est l’épigénétique. Les chercheurs n’avaient toutefois jamais démontré que les expériences agréables vécues en début de vie pouvaient avoir un effet comparable, encore perceptible au-delà de trente ans plus tard. C’est maintenant chose faite.  

Classified as: Kieran O’Donnell, Centre Ludmer en neuroinformatique et santé mentale, Centre de recherche de l’Hôpital Douglas, Programme Sackler en épigénétique et psychobiologie, Université McGill
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Publié le: 1 mai 2018
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