Le géologue entrepreneur BobWares, (B.Sc.1979, D.Sc.2012), est devenu une véritable vedette de l’industrie minière lorsqu’il a découvert l’un des plus importants gîtes aurifères du Canada dans la région de l’Abitibi, au Québec.

Des chercheurs de l’Université McGill ont inventé une nouvelle technique de mesure de la rapidité d’interaction des médicaments avec leurs cibles moléculaires. Cette découverte offre aux scientifiques une nouvelle façon d’évaluer l’efficacité des médicaments candidats qui, autrement, pourraient avoir été ignorés.

De nouvelles détections d’ondes radio provenant d’une succession de sursauts radio rapides ont mis au jour un champ magnétique d’une puissance exceptionnelle dans l’environnement de la source, indiquant ainsi qu’elle se trouve à proximité d’un trou noir massif ou dans une nébuleuse d’une puissance inouïe.

Les écosystèmes sont issus d’une multitude d’interactions complexes. Ces réseaux écologiques sont soumis à la réorganisation en raison d’extinctions et de colonisations causées par l’homme, dont le changement climatique et la destruction de l’habitat. Dans un article publié cette semaine dans la revue Nature Ecology & Evolution, des chercheurs de l’Université McGill et de l’Université de la Colombie-Britannique ont mis au point une nouvelle théorie visant à comprendre le processus entourant la réorganisation des réseaux écologiques complexes.

Pour la première fois, des astronomes ont repéré la galaxie hôte d’un sursaut radio rapide (SRR). Les scientifiques disposent ainsi d’un élément de plus pour déterminer la cause de ces ondes radioélectriques puissantes, mais fugaces. Ces impulsions de quelques millisecondes seulement intriguent les astrophysiciens depuis leur découverte, il y a une dizaine d’années.

Une nouvelle étude publiée dans Nature Communications pourrait aider les biologistes à comprendre comment divers types de cellules migratoires, telles que les cellules immunitaires, s’orientent dans les tissus du corps humain.

Salle de Presse

Des minéraux de Sibérie ont la même structure que certaines matières synthétiques

Les réseaux métallo-organiques, ou metal-organic frameworks (MOF), figurent parmi les nouvelles matières solides poreuses les plus prisées. Ces matières synthétiques ont fait leur apparition dans les années 1990. Depuis, des chercheurs de partout dans le monde étudient leur utilisation comme éponges moléculaires pour divers usages, dont le stockage de l’hydrogène et le piégeage du carbone, ou encore les systèmes photovoltaïques.