Le delta du fleuve Mackenzie dans la mer de Beaufort, une région de faible altitude dans l’Arctique canadien qui est vulnérable à l’élévation du niveau de la mer causée par le réchauffement climatique. Photo : Nadia et Harold Gomez
Élévation du niveau de la mer : impossible à arrêter sans l’atteinte des cibles de l’Accord de Paris
Des chercheurs de l’Université McGill ont élaboré une technique qui pourrait servir à la production de membranes robustes de haute performance capables d’exploiter une source d’énergie renouvelable abondante.
L’énergie bleue, ou énergie osmotique, est produite naturellement lorsque deux solutions de salinité différente se mélangent – phénomène observable en d’innombrables endroits partout dans le monde, là où l’eau douce et l’eau salée se rencontrent.
La 5e édition du Hackathon du departement de physique de McGill a réuni un nombre record de participants à cet événement en ligne 2020.
*En anglais seulement
Nous célébrons les 24h de science et le bicentenaire de McGill alors que nous entrons dans un nouveau siècle de vulgarisation communautaire ! Les groupes de vulgarisation scientifique ont prévu toutes sortes d'activités amusantes pour cet événement phare de la Faculté des sciences. Joignez-vous à la fête ! Pour plus de détails, veuillez consulter l'horaire complet ici.
Victoria Glynn, la représentante du programme public de GARM (Graduate Association of the Redpath Museum), a remporté la prestigieuse Bourse Vanier.
Dans le cadre de du Bicentenaire de McGill et de 24hr de Science, rejoignez Mission Cerveau pour une visite virtuelle du cerveau et des neurones, suivie par une brève histoire de la neuroscience. Les jeunes esprits découvriront les périples des scientifiques de McGill à la découverte du cerveau humain.
Titre: C’est quoi la neuroscience? Histoire de neuro à McGill
Chaque année, des millions de personnes meurent prématurément de maladies et de cancers causés par la pollution atmosphérique. Notre première ligne de défense contre cette hécatombe est l’établissement de normes de qualité de l’air ambiant. Or, des chercheurs de l’Université McGill nous apprennent que plus de la moitié de la population mondiale est privée de la protection que confèrent ces normes.
Les mini-Neptune et les super-Terre, dont la taille peut atteindre quatre fois celle de la Terre, constituent la majorité des exoplanètes orbitant autour d’étoiles situées à l’extérieur de notre système solaire. Jusqu’à maintenant, nous pensions que les super-Terre étaient en fait le noyau rocheux de mini-Neptune dont l’atmosphère gazeuse avait été soufflée.
Depuis plusieurs décennies, les théories scientifiques foisonnent quant à la façon dont les interactions entre les espèces, dont la concurrence, influencent la biodiversité. Des chercheurs de l’Université McGill ont étudié l’évolution de la vie microbienne aux quatre coins de la planète, et ont démontré que la biodiversité favorisait effectivement une plus grande diversité au sein des microbiomes initialement plus pauvres.
Le réchauffement des eaux océaniques pourrait entraver la capacité des poissons, surtout les gros, à extraire de leur environnement l’oxygène dont ils ont besoin pour générer l’énergie nécessaire aux mouvements, à la croissance et à la reproduction.
Pour enrayer la perte de biodiversité, le Canada s’est récemment engagé à protéger 30 % de ses terres et océans d’ici 2030. Il est toutefois difficile de déterminer les endroits qui méritent d’être ajoutés à la liste des zones à protéger. Ces décisions dépendent de données qui ont notamment trait à la biodiversité et à une série d’avantages que les humains tirent de la nature, dont l’approvisionnement en eau douce, l’action de régulation du climat et les espaces de plein air.
Nous savons que l’extinction massive des dinosaures, il y a environ 66 millions d’années, est principalement attribuable à un impact de météorite. Néanmoins, bien que l’on pense que des changements extrêmes ont joué un rôle dans cette extinction de masse, le doute subsiste quant à la manière exacte dont l’impact de météorite y a contribué.
Depuis plus de 40 000 ans, des nappes glaciaires séparées par des milliers de kilomètres influent les unes sur les autres sous l’effet d’une variation du niveau de la mer. C’est ce que révèle une étude publiée aujourd’hui dans Nature. Une équipe dirigée par des chercheurs de l’Université McGill a réalisé une nouvelle modélisation de l’évolution des nappes glaciaires au cours du plus récent cycle glaciaire.
En dépit des affirmations et des croyances passées, en règle générale, les populations de vertébrés – qu’il s’agisse d’oiseaux, de poissons ou même d’antilopes – ne seraient pas en déclin.
Cinq projets dirigés par des chercheurs de l’Université McGill figurent parmi les 79 projets qui se partagent un financement de 28 millions de dollars en soutien à l’infrastructure de recherche versé par l’entremise du Fonds des occasions exceptionnelles (FOE) de la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI). L’annonce a été faite le 6 novembre dernier par M. Navdeep Bains, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie.