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$14 millions pour former la prochaine génération de chercheurs en biomédecine

Publié: 15 July 2009

L’Institut de recherche du CUSM et l’Université McGill reçoivent plusieurs bourses des IRSC pour soutenir le recrutement et la formation des étudiants

Les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) viennent de reconnaitre l’importance fondamentale de l’Institut de recherche du Centre Universitaire de santé McGill (CUSM) et de l’Université McGill dans la compétition internationale vers l’excellence scientifique. Par l’intermédiaire de l'Initiative stratégique pour la formation en recherche dans le domaine de la santé (ISFRS), les deux institutions se sont chacune vues remettre quatre bourses de $1,790,000 sur six ans. Elles permettront d’attirer et de former les meilleurs espoirs de la prochaine génération de chercheurs en sciences biomédicales.

« Nous sommes extrêmement reconnaissants aux IRSC pour leur soutien, » se réjouit le Dr Vassilios Papadopoulos, Directeur de l’Institut de recherche du CUSM. « Collectivement ces bourses vont nous permettre de former plus de 200 étudiants de très haut niveau dans différentes disciplines, au cours des 6 prochaines années. Il s’agit d’une aide fondamentale pour assurer notre compétitivité au niveau international. »

« Nous sommes très heureux et fiers que les IRSC aient choisi de soutenir les efforts de l’Université McGill et du CUSM pour attirer les meilleurs étudiants au niveau mondial, » confie Denis Thérien, Vice-Principal, Recherche et Relations Internationales à l’Université McGill. « Ces bourses nous permettrons de conserver et de renforcer la réputation mondiale d’excellence en recherche de notre institution ».

Les programmes CUSM/McGill récipiendaires d’une bourse de l’ISFRS et basés à l’Institut de recherche du CUSM sont dirigées par :

  • Dr. Vassilios Papadopoulos – Directeur et membre de l’axe « Reproduction humaine et développement », Institut de recherche du CUSM et Professeur, Département de médecine à l’Université McGill – a reçu la subvention de formation des IRSC pour la mise au point de médicaments
  • Dr Eric Fombonne – Directeur de psychiatrie, Hôpital de Montréal pour enfants (HME) au CUSM, membre de l’axe « Santé mentale », Institut de recherche du CUSM à l’HME, et Professeur, Départment de Psychiatrie à l’Université McGill - a reçu la subvention de formation des IRSC en recherche sur l’autisme
  • Dr Samuel David – membre de l’axe des Neurosciences, Institut de recherche du CUSM, et Professeur, Département de neurologie de l’Université McGill – a reçu la subvention de formation des IRSC pour le Programme de formation intégré dans les aspects fondamentaux et cliniques de la neuroinflammation
  • Dr Gilles Paradis – membre de l’Axe « Recherche évaluative en santé », Institut de recherche du CUSM, et Professeur, Département d’épidémiologie, biostatistiques et santé au travail de l’Université McGill – a reçu la Subvention de formation des IRSC en recherche transdisciplinaire sur les interventions en santé publique: promotion, prévention et politiques publiques (4P)

D’autre part, les programmes McGill/CUSM récipiendaires d’une bourse de l’ISFRS et basés à l’Université McGill sont dirigées par :

  • Dr Michael Hallett – Professeur, Département d’Informatique de l’Université McGill – a reçu la subvention de formation des IRSC en « Integrative Approaches to Human Health »
  • Dr Carmen Loiselle – Professeur associée, École des sciences infirmières de l’Université McGill - a reçu la subvention de formation des IRSC en oncologie psychosociale
  • Dr David Thomas – Professeur, Département de biochimie de l’Université McGill – a reçu la subvention de formation des IRSC en biochimie
  • Dr Michel Tremblay – Directeur, Centre du cancer Rosalind et Morris Goodman de McGill, et Professeur, Département de biochimie de l’Université McGill – a reçu la subvention de formation des IRSC/FRSQ en recherche sur le cancer.

À propos de l’ ISFRS

Les IRSC ont lancé l'Initiative stratégique pour la formation en recherche dans le domaine de la santé (ISFRS) afin de donner un moyen au Canada d'être plus concurrentiel sur la scène internationale, d'intéresser de nouveaux talents brillants et créatifs en recherche et de garantir l'innovation et l'excellence de la prochaine génération de programmes canadiens de formation en recherche dans le domaine de la santé. À l'aide de l'ISFRS, les programmes individuels de formation obtiennent des fonds ciblés avant tout sur le soutien des stagiaires en recherche qui obtiennent des allocations. Les IRSC et leurs partenaires de l'administration publique et des secteurs privé et bénévole financent ces programmes de formation.

L'Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR du CUSM) est un centre de recherche hospitalo-universitaire de réputation internationale dans les sciences biomédicales et les sciences de la santé. Établi à Montréal, au Québec, il constitue la base de recherche du CUSM, centre hospitalier universitaire affilié à la Faculté de médecine de l'Université McGill. L'Institut compte plus de 600 chercheurs, près de 1 000 étudiants diplômés et postdoctorants et plus de 300 laboratoires de recherche consacrés à un large éventail de domaines de recherche, fondamentale et clinique. L'Institut de recherche est à l'avant-garde des connaissances, de l'innovation et de la technologie. La recherche de l'Institut est étroitement liée aux programmes cliniques du CUSM, ce qui permet aux patients de bénéficier directement des connaissances scientifiques les plus avancées.

L’institut de recherche du CUSM est soutenu par le Fonds de la recherche en santé du Québec.

Pour de plus amples renseignements, visiter le site www.muhc.ca/research.

À propos de l'Université McGill

Fondée à Montréal, au Québec, en 1821, l’Université McGill se classe comme chef de file parmi les universités canadiennes. McGill compte deux campus, 11 facultés, 10 écoles professionnelles, 300 programmes d’études et au-delà de 34 000 étudiants, originaires de 160 pays. L’Université accueille au-delà de 6 400 étudiants étrangers, qui composent près de 20 pour cent de sa population étudiante. Près de la moitié de ses étudiants ont une langue maternelle autre que l’anglais – dont 6 000 francophones.

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