Nouvelles

Billet de blogue | Luc Véronneau et la création de logiciels qui font sens

Publié: 20 May 2022

Entretien avec l’architecte de solutions Luc Véronneau

Écrit par l’équipe de coordination du PDS*

An English version of this post was published here.

L’équipe du Pôle d’analyse de données sociales (PDS) s’est entretenue avec Luc Véronneau pour en apprendre davantage sur son rôle en tant qu’architecte de solutions, son implication dans le projet ainsi que les objectifs de son équipe pour l’année à venir.


Quel est votre rôle au sein du PDS?

Luc Véronneau (LV): J’étais en contact avec le CRIEM [Centre de recherches interdisciplinaires en études montréalaises] bien avant que le PDS voie le jour. Mon rôle s’apparentait à celui d’un «spécialiste technique». J’effectuais un travail d’architecte de solutions en discutant de l’Observatoire des récits de Montréal (lequel a depuis été scindé en deux projets) et en élaborant la solution pour Commun Axiom, qui est une idée que j’ai eue.

Actuellement, mon titre officiel est «architecte de solutions», mais mes fonctions s’étendent au-delà de ce poste. Je suis responsable de l’équipe de développement, ce qui signifie que j’encadre les développeur·se·s et que je révise leur code. Je m’occupe aussi de la conception de logiciel, en plus de guider l’équipe dans la mise en œuvre de ces structures.

Mes tâches incluent la sélection de piles technologiques et la formulation de directives quant à leur déploiement, car les développeur·se·s que nous avons en ce moment sont des étudiant·e·s. Il·elle·s n’ont pas autant d’expérience que moi, donc je dois généralement passer en revue leur code et leur donner des conseils. Une grande partie de mon travail consiste à les encadrer. Cela dit, il·elle·s sont plus spécialisé·e·s que moi; nous bénéficions donc beaucoup de cette collaboration sur d’autres aspects.

Mon rôle consiste aussi à rencontrer d’autres leaders techniques au sein de Montréal en commun afin d’être au fait de leurs travaux [ainsi que] des lignes directrices ou des restrictions en matière d’architecture logicielle. De plus, je reste en contact avec les partenaires et différent·e·s membres de l’équipe afin de me tenir au courant des projets susceptibles de s’arrimer avec nos propres initiatives technologiques. Cela implique des partenariats approfondis avec des gens qui ne sont pas directement liés au PDS, mais qui pourraient être intéressés par l’utilisation de certaines de nos solutions à long terme. Nous ne développons pas un logiciel pouvant seulement répondre aux besoins d’un regroupement précis d’organismes; le but, c’est d’offrir quelque chose qui sera accessible à un plus large public.

 

 

Back to top