Les étudiants universitaires autochtones échangent des lettres avec des étudiants autochtones plus jeunes sur des sujets tels que la vie universitaire et l’expérience étudiante.
Le projet
Il s’agit d’un projet pilote qui en est à ses tout premiers débuts. Les groupes participants créeront un système d’échange de lettres. Une école désignera la classe participante et Larissa States recrutera des étudiants ou des diplômés autochtones de McGill, qui répondront aux lettres. Déterminés par l’enseignant, les sujets porteront généralement sur l’expérience des étudiants autochtones, la vie universitaire et la transition vers un milieu urbain.
Buts du projet
Ce projet vise à encourager la discussion et à créer un contexte dans lequel les jeunes étudiants autochtones se sentiront à l’aise de poser des questions. La distance physique peut compliquer le dialogue entre des étudiants de McGill et des jeunes au sein des collectivités. Heureusement, la correspondance permet d’établir et, surtout, d’entretenir des liens. Tout en profitant d’un mentorat, les jeunes étudiants pourront améliorer leur grammaire, leur orthographe et d’autres compétences essentielles.
Communautés participantes
Actuellement, deux communautés participent au projet : la communauté Anishinaabe, dans le nord de l’Ontario, et une communauté inuite, au Nunavik. Dix étudiants autochtones de McGill ont accepté de participer comme correspondants. Au fur et à mesure que le projet grandira et que des groupes manifesteront leur intérêt, l’invitation sera aussi lancée aux diplômés autochtones de McGill. Nous souhaitons qu’un correspondant crée des liens avec un étudiant autochtone, réponde à ses questions et l’aide à aplanir les obstacles pouvant survenir au cours de sa formation postsecondaire.
Des questions?
Si vous avez des questions sur le projet ou souhaitez y participer, veuillez communiquer avec Mayela Lozano à outreach.branches [at] mcgill.ca (body: Hello%20Mayela%2C%20) .