Des chercheurs de l’Université McGill et le gouvernement du Québec ont découvert que des microplastiques (sous forme de microbilles de polyéthylène d’un diamètre de moins de 2 mm gisent un peu partout sur le lit du fleuve Saint-Laurent. C’est la première fois qu’on répertorie de tels polluants dans des sédiments d’eau douce.