Les changements dans nos habitudes alimentaires depuis le début des années 1960 ont entraîné une augmentation marquée de la quantité de phosphore extrait de gisements utilisée pour la production des aliments consommés annuellement par chaque habitant, ce que l’on appelle l’ « empreinte phosphore ». C’est ce que révèle une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l’Université McGill.