L’analyse chimique de certaines des plus vieilles roches au monde réalisée par une équipe internationale dirigée par des chercheurs de l’Université McGill a permis d’obtenir les données les plus précoces dont nous disposons sur l’atmosphère terrestre. Les résultats de cette analyse révèlent qu’il y a plus de quatre milliards d’années, la composition de l'atmosphère était très semblable à celle qui existait un milliard d’années plus tard, quand se développait à la surface de notre planète, une biosphère microbienne florissante à l’origine de la diversité de la vie que l’on trouve aujourd’hui sur la Terre.

Classified as: Boswell Wing, Université McGill, l’atmosphère terrestre, Nuvvuagittuq, roches
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Publié le: 14 jan 2015
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